Eszter Salamon MONUMENT 0.10: The Living Monument

location
time
2h
category
- Dance
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20h00
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20h00
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20h00
- Tarif plein33 €
- Tarif Pass Chaillot27 €
- Tarif Pass Chaillot Jeune12 €
- Tarif Pass Chaillot Groupe27 €
For the past ten years, Hungarian choreographer Eszter Salamon has been researching monumentality, history and memory. In The Living Monument, color sets the tone for tableaux conceived as still lives through which the 14 performers of the company Carte Blanche move in slow motion. From one tableau to the next, the whole scene changes color, from the fabrics and materials composing the phantasmagoric scenography to the bodies, costumes and masks delivering a singular language. Both an ode to slowness and a dramatic immersion in a dream-like world, The Living Monument is elevated by the atmospheric pulses of the score by Norwegian composer Carmen Villain. Music, sounds, movements, figures and materials form “dynamic monochromes” that are both visually and emotionally captivating landscapes and an invitation to the audience to slow down, dream, relive their own memories and make up new fictions. Tableaux of another world out of time, a collection of mirrors to look through.
Vincent Théval
De cette performance, on en ressort impressionné de la puissance d’un costume et de ce qu’on peut faire avec du tissu. Mais la chorégraphe développe avant tout une dramaturgie et absolument pas "un déploiement de costumes, une sorte de fashion show décalé". Son spectacle laisse libre l’interprétation, invite à la rêverie et à la réflexion.[...]. Un spectacle qui en met plein les yeux à ne surtout pas manquer. Yemcel Sadou,
Voyage dans le monde des couleurs. Un voyage lent, très lent, très très lent, met en ébullition notre imaginaire, immergé dans un monde sensoriel d’images où la couleur et le textile jouent un rôle essentiel, et propose des tableaux chatoyants, vibrants et surprenants. Revue AS
La scène tout entière transite d’un monochrome à l’autre, du noir au blanc, du bleu nuit à l’orange incandescent. Le temps alors se ralentit, nous tire dans une grandiose nature morte qui n’a rien de fatale. sceneweb
Les mouvements lents et microscopiques de la chorégraphie sont inextricablement liés aux costumes. […] Cela crée un rythme et une logique qui lui sont propres, avec des ambiances oniriques où quelque chose de familier et de concret est abstrait et déplacé. Judith Dybendal, Scenekunst
À travers une superbe scénographie, le public est emmené dans un voyage méditatif par des tableaux vibrants dans un univers onirique où le temps est quasiment à l’arrêt. The Living Monument invite le public à ralentir et à s'immerger dans les impressions sensorielles et les figures qui apparaissent dans les paysages infinis de la scène. Out.be
Avec Monument 0.10 : The Living Monument, Eszter Salamon met en scène quatorze interprètes habillés de costumes scintillant de différentes couleurs pour faire apparaître, par vagues, une série de paysages monochromes noirs, blancs, orange… Les danseurs, qui ici chantent également, deviennent les matériaux et les bâtisseurs d’une fresque vivante qui se reconfigure sans cesse. Rosita Boisseau, Télérama