Les pouvoirs de la danse

Et si la danse était bien plus qu’un art ? Venez explorer son pouvoir de transformation, de bien-être et de connexion lors de la prochaine Chaillot Rencontre, un moment d’échange et de partage autour des bienfaits physiques, mentaux et émotionnels du mouvement dansé.
Que vous soyez danseur, amateur ou simplement curieux, plongez dans un dialogue avec des artistes, chercheurs et professionnels du monde de la danse et de la santé. Ensemble, nous interrogerons comment le corps en mouvement peut être une source de guérison, de résilience et d’épanouissement.
Un rendez-vous à ne pas manquer pour celles et ceux qui souhaite ressentir toute la puissance bienfaisante de la danse.
lieu
-
18h30
- gratuit sur réservation
- Julie Nioche, danseuse, chorégraphe et ostéopathe
Diplômée du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris en 1995, elle a travaillé comme interprète auprès d’Odile Duboc, Hervé Robbe, Meg Stuart, Alain Michard, Catherine Contour, Emmanuelle Huynh ou Alain Buffard. De 1996 à 2007, elle co-dirige l’association Fin novembre avec Rachid Ouramdane au sein de laquelle elle participe à des projets communs et initie les siens propres. En 2007, elle initie la création de A.I.M.E. - Association d’Individus en Mouvements Engagés. A.I.M.E. associe actrices culturelles, chercheuses, artistes et praticien.nes somatiques pour porter ses projets artistiques sur scène et in situ et développer un pôle danse, recherche et société autour de "projets artistiques socialement et corporellement engagés" (PasKe).
- Isabelle Ginot, enseignante-chercheuse à l'Université Paris 8, chargée du pole ressources A.I.M.E. (Association d’Individus en Mouvements Engagés)
Isabelle Ginot est professeure au département danse de l’université Paris 8 et praticienne de la méthode Feldenkrais ; ses recherches et enseignements ont d’abord été consacrés à l’analyse des œuvres en danse contemporaine, interrogeant tout particulièrement l’activité perceptive du spectateur (ou du critique) dans la lecture ou l’analyse des pièces chorégraphiques, et les processus de travail qui sous-tendent les œuvres. A partir de 2007, la question des pratiques devient centrale, et ouvre un nouveau champ de recherche autour des pratiques somatiques, à la croisée des pratiques de danse et du travail social. Parallèlement, le travail d’analyse d’œuvres se tourne plus spécifiquement vers les pièces mettant en scène des acteurs et danseurs inhabituels : danseurs amateurs, vivant avec un handicap, séniors, enfants, etc. Co-fondatrice de A.I.M.E., elle développe avec l’association un ensemble de pratiques corporelles issues de la danse et des méthodes somatiques, en direction de personnes en situation de précarité sociale ou de santé.
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