Sharon Eyal Delay the sadness

Saison 25 26
Spectacle

Artiste fidèle de la programmation de Chaillot, la chorégraphe et directrice de la S-E-D Sharon Eyal présente sa toute nouvelle création Delay the sadness, un titre comme une promesse du retour d’une joie qui se ferait parfois timide.

lieu

durée

50 minutes

catégorie

  • Danse
  • |
  • 1ère en France
Dates
  • 19h00
  • 20h00
  • 18h00
  • 16h00
  • 20h00
  • 19h00
  • 20h00
  • 18h00
  • Tarif plein
    35€
  • Tarif Pass Chaillot / Pass Chaillot Groupe
    27€
  • Tarif Pass Chaillot Jeune
    12€
  •  

     

     

Nouvel opus attendu de Sharon Eyal et son compagnon de route Gai Behar, Delay the Sadness devrait être une nouvelle variation virtuose. Chorégraphe majeure de ces dernières années, Sharon Eyal fait chacune de ses pièces un hommage à la vie.

Les deux étaient faits pour se rencontrer : Sharon Eyal, danseuse de la Batsheva Dance Company, chorégraphe émergente de la troupe, et Gai Behar, commissaire d’événements artistiques et night-clubber. En 2013, ils lancent leur compagnie de danse et n’ont jamais cessé depuis de collaborer sur des projets chorégraphiques d’envergure. Il y aura ainsi la trilogie Love Cycle au succès retentissant, les commandes pour des compagnies comme le Nederlands Dans Theater, Le Ballet de l’Opéra de Paris ou la GöteborgsOperans Danskompani sans oublier des pas de côté entre mode et art contemporain. Après le choc de Into the Hairy, S-E-D Dance Company revient présenter Delay the Sadness sur une partition originale de Josef Laimon. Delay the Sadness sera animé par un groupe de 8 danseurs de S-E-D, chacun apportant son énergie et son expression uniques à la pièce. « Permettant une riche interaction entre mouvements individuels et collectifs, créant une mosaïque dynamique d'interactions et de relations, les danseurs seront au cœur de la pièce, leurs corps projetant une émotion qui transcende les mots ». Sharon Eyal met en scène des corps vibrants, des transes apaisées ou furieuses, une gestuelle tendue à l’extrême d’où jaillit la beauté de l’instant. 

Philippe Noisette